Le bonheur que tu me donnes en existant par le seul fait que tu existes (près ou loin) est grand, mais je dois l'avouer, un peu vague, un peu abstrait, et l'abstraction n'a jamais comblé une femme, ou du moins moi. Que veux-tu ? J'ai besoin de ton corps long, de tes bras souples, de ton, beau visage, de ton regard clair qui me bouleverse, de ta voix, de ton sourire , de ton nez, de tes mains, de tout | lit.salon